Sunday, May 27, 2007

Still in Niamey

Après quelques jours sur Niamey, l'impression reste bonne, intéressante ville, où il fait plutôt bon vivre.
Les marchés sont incroyables, le petit marché regorgeant de fruits et légumes en tous genres, salades à volonté, le Grand marché a à peu près tout ce qu'on peut souhaiter avoir et même ce qu'on n'a jamais pensé avoir. Ce dernier est mieux équipé qu'un supermarché... Vous voulez faire réparer votre télé, acheter du tissu, ou bien vos bouquins d'école, on trouve tout. Le seul truc, c'est de ne pas se perdre dans ce labyrinthe d'articles et de boutiques.
Le reste de la ville est assez acceuillant et très agréable, avec de temps en temps la possibilité de croiser un chameau dans la rue.
Juste quelques jours de plus sur Niamey avant de se diriger sur l'est du pays, à la recherche des coins les plus perdus et isolés du Niger.


A few days in Niamey and first impressions stick. Its a charming place. Relaxed, laid back, interesting and friendly. People are generally helpful and whilst the 'artists' can be persistant in selling their wares, when they realise you really are NOT interested in a genuine camel bone necklace (made in china, of course) they generally leave you be. It would be an interesting town to be based in for work. Unfortunately getting around outside of town isnt that easy without your own car or an investment bankers salary to be able to rent one but we've enjoyed our time here and soon it will be time to move on towards the east, to Zinder and the ex-shores of lake Chad.

Friday, May 25, 2007

Niamey and some pix


Hier, le 24 mai 2007, nous avons quitté Ouagadougou. Nous avons empreinté une compagnie de bus Burkinabe, plus ou moins réputée comme étant la plus sérieuse du pays. Nous avions pris nos tickets la veille afin d’être sur d’avoir une place et de ne pas attendre le lendemain. Et bien dans tous les cas on attend au Burkina.
L’horaire de départ était donc donné pour 6h30 du matin, et ils nous ont demandé de nous pointer sur le coup des 6h, histoire de charger les bagages. Nous sommes donc arrivés à la gare à 6h, nous avons attendu un bon moment jusqu’à ce qu’on se rapproche histoire de les pousser à prendre nos bagages. Ils nous ont alors annoncé que nous étions arrivés trop tard et qu’ils n’avaient pas de place. Pas étonnant lorsqu’on voit qu’il y a 3 bus pleins allant sur Niamey tous les jours à partir de Ouaga, contenant les marchants venant de Cote d’Ivoire et transportant tout un tas de choses, plus ou moins volumineuses, plus ou moins bien emballée… Globalement, chaque personne avaient environ quatre à six sac de marchandises, et autres biens de toutes sortes, vélos, jerry cans, cartons de mangues… on n’a eu droit à aucun animal, mais dans d’autres bus…
Nous avons finalement réussit à mettre nos deux malheureux sac dans le bus, à l’intérieur dans les escaliers, et sur le coup des 8 heures, nous avons pris la route de Niamey. Oui, seulement une heure et demi de retard, ce n’est pas si mauvais finalement. Mais c’est sans compter sur tous les différents arrêts. Bon, un premier après une heure et demi pour constater un accident, sur une ligne droite (on est au Burkina, plat pays où toutes les routes sont droites, et on ne voit pas la fin), et le type s’est apparemment planté sur un arbre (il faut le faire, il devait traverser la route celui-ci).
Le second arrêt fut à Fada N’Gourma, (petite pensée pour mes parents), avec un arrêt afin de se prendre un petit remontant, de viande grillée (fabuleuse…) avec deux pan-cakes (incroyable…). Ensuite, le plus dur fut le passage de la frontière, avec de multiples arrêt annonçant la police, puis la gendarmerie, puis les douanes, et l’immigration, et bien sur à peu près le même de l’autre côté du pays. Marrant lorsque les douanes Nigériennes ont fait vider les marchandises qu’il avait fallu environ deux heures pour charger… et recharger l’ensemble.
Au final, nous sommes arrivés sur le coup des 7h30 le soir, après environ 12 heures de voyage, fatigués mais content de l’avoir fait.

Le changement de paysage est fabuleux, en passant du Burkina qui est relativement sec mais encore avec un peu de verdure sur les arbres, puis remontant au Nord sur le Niger où les arbres perdent leurs feuilles (beaucoup plus sec et désertique), la plaine infinie du Burkina se « vallonne » un peu , les personnes changent un peu d’apparence (le style touareg ressort un peu plus), les maisons en briques de boue et toits de chaume laissent place à des maison complètement en chaume.

Puis on arrive à Niamey, qui est une ville plutôt grande, mais très agréable. On se croirait dans une ville balnéaire, car le sable est présent partout en ville, ce sable fin du désert qui s’introduit dans tous les recoins. La capitale nigérienne a une ambiance plutôt bonne enfant, avec des gens très gentils et serviables, toujours avec le sourire. La température a monté d’un cran aussi, et il fait très proche des 45 degrés, si ce n’est plus en pleine journée. Mais le fait que ça reste une chaleur sèche et avec du vent le rend très supportable.
Nous sommes donc ici pour quelques temps, histoire de planifier notre voyage dans la brousse nigérienne, partir à l’intérieur du pays, et aller même faire un tour au Tchad, à N’Djamena. C’est une ville très vivante et l’on pourrait rester une petite semaine ici.


Long trip. Beautiful trip. Arrived…..finally… and its HOT!

The initial sensation is of being caught under a fierce hair dryer, but for all its 45-47 C its surprisingly tolerable and we walked around quite happily all morning. It’s the end of the dry season here, so every Nigerien we passed nodded sagely at our red faces and proclaimed “Its hot”. Short and to the point. Other than that, it’s a laid-back, charming pink city. The buildings are low and painted red-pink, the colour of the sand which is pretty much everywhere. The small food market was wonderful and you can tell we are moving back towards the northern influence. It was souk-like. Small, cool and darkish with windey passages through pyramids of all kinds of merchandise: fresh fruits and vegetables, dried herbs, spices – the usual and crowded to bursting point. Wonderful.






Wednesday, May 23, 2007

Snapshots of Burkina




Snapshots of Ghana


Market in Accra / Le marché d'Accra Fishing Boats off Elmina / Bateaux de pêcheurs à Elmina













Fante Fishing Boats, Cape Coast / Bateau de pêcheurs Fante.













Women near Cape Coast Castle, Femmes à deux pas du Chateau de Cape Coast

Tuesday, May 22, 2007

Bonne arrivée... à Ouaga

Bon, on y est... Un peu plus tard que ce qu'on pensait, mais on l'a fait. Après deux longues journées de voyage, une pour joindre Tamale et une pour arriver à Ouagadougou. Bon, il est vrai qu'on s'y est prit comme des manches ou plutôt la fatigue a troublé notre vision...

Ouais, à Kumasi, vérifiant les horaires de départ des bus pour Ouagadougou, on a mélangé les AM et PM. Du coup, levés de bonne heure le lendemain pensant prendre le bus nous conduisant au Burkina, nous nous sommes rendus compte qu'il ne partait que le soir, sur le coup des 8 heures.

Du coup, bref consultation de « nous même » et nous décidâmes en toute hâte de prendre un bus pour Tamale, au lieu de passer toute la journée à glander sur Kumasi. Bon, le bus partant quelque chose comme cinq minutes après le paiement du billet, nous nous avons sauté à l’intérieur, mais au fond ce ne fut pas plus mal.
Nous avons donc débarqué à Tamale, petite ville du nord du Ghana, plus ou moins située sur une route principale, mais nous remettant en mémoire de précieux souvenirs de Voinjama, avec ses brochettes en bord de route et les gens beaucoup plus amicaux et souriant qu'au sud (du Ghana).

Un petit pincement au coeur, nous nous sommes dirigés vers une sorte d'auberge où l'on a put prendre une chambre. Cette auberge fait partie d'un centre (Tamale Institute for Cross Cultural Studies), qui est tenu par un prêtre américain qui a passé près de 34 années au Ghana. Le but de ce centre est d'enseigner un peu de la culture du Ghana à toutes personnes intéressées. Le type est incroyable et nous avons apprit beaucoup sur le Ghana et la culture d'Afrique de l'ouest.

Ce matin, départ en Tro tro à partir de Tamale en direction de Bolgatanga, puis taxi jusqu'à la frontière, où l'on a enfin pris notre premier transport burkinabe (arès une marche symbolique de la traversée au Burkina), pour mettre le cap sur Ouaga. Cette dernière partie du voyage fut un peu plus longue, après un arrêt à chaque gendarmerie, police et autre douane, un arrêt pour prier, et un autre pour... pipi... nous sommes, à la tombée de la nuit, arrivés dans la capitale du "Pays des Hommes intègres". Voyage peu confortable mais il va falloir s'y habituer, ça ne fait que commencer, de plus c'est un peu ce qu'on voulait, non... Demain, visite de la ville avec recherche des horaires de départ des bus pour le Niger.




Arrived in Ouaga....stylishly....looking like Elvis. After a day (or make that 2) sitting near the open window of a tro tro I developed an extraordinary Quiff, or at least it felt like it. Mixed in with a fine adobe mixture of dust and dirt and general flying debris it had to be chiseled off in the shower! But we got here, a day late, but we made it. On the other hand if we will get Am and PM mixed up what to expect ?!? Our nice, comfy, surely air con-bus was replaced by 2 decrepit Tro tros, a taxi and a walk across the border. Much more fun, especially as it was during the day instead of overnight and we could actually see where we were going. That kind of makes a difference. And things are certainly different. Gone is the lush, Liberia-like vegetation of the coast.

Already as we got to Tamale that landscape flattened out, the trees thinned and increasingly the "Jesus willing Pharmacy" (would YOU trust their medicine with a name like that? Thought not!), "Psalm 23 Kindergarten", "Mother Mary Tailoring" and my personal favorite: "Sunday night Disco - Salvation Rally, special guest speak: HELL IS REAL AND ITS HERE!!!!" also (mercifully) thinned and things normalized slightly...or if not normalized at least rebalanced..."Allah is merciful Pharmacy" anyone????

Tamale was great. Small, dusty, comfy. Smiley helpful people and OK brochettes. Not quite up to Voinjama standards, but there you go - you cant expect "how mamma made them" everywhere, eh. We spent the night in a centre (TICCS) run by an American priest - it seems I can run but cant hide - who set up a centre for cross cultural studies. A DPhil in W.African studies and anthropology, we spent a fascinating evening discussing with him about his 34 years in Ghana and the region.

However we are now comfortably back in Mayonnaise country....or should I say Pastis bottle country; as the French are infinitely more stylish than us poor Anglophones.

You see the thing (one of the many) that made my eyes pop when we reached Ghana was that - shock HORROR - its a country of service stations. Imagine that.

I hear those of you in Europe and the US saying: Yeah well, and so what.....

SO WHAT! Its been almost 2 years since Ive seen a service station (we're excepting compensations here). And im not talking any old run down affair. Nope. As we left the glitzy, state of the art airport in Accra the taxi pulled in (I guess its not only ARC who doesnt fuel the night before) to a shiny, chrome, lit up, CLEAN (and not cracked) plastic signed service station with real pumps that worked. And a mini mart. Selling Pringles. Thats when I realized that I was either hallucinating or they had given us something very strong to eat in the plane and it was disagreeing with me.

You see in Liberia you buy gas by the mayonnaise jar. Huge things, round about a gallon. You buy them off some dodgy guy with shades squatting at the site of the street who has bought them from his cousin's brother' wife's son's in-law, who in HIS turn has had them quietly siphoned off the UN, added some extra dirt for the Bush effect and mixed in some water to make it go that little way further and mess up your precious land cruiser’s temperamental engine. Yup. So, after a year of mayonnaise jars stations make an impact. Especially as they have them in what would almost qualify as the bush in Ghana as well.

So, feeling a bit uncomfortable with all this modernity I was pleased to ascertain when we crossed the border that stations reduced to small metal racks holding bottle on bottle of gas...not in mayonnaise' jars alas, but rather, in Pastis bottles. The French must have drunk a hell of a lot of Pastis down here.

I admit that I also spotted a station in Ouaga, but for the amusement afforded by the Pastis bottles we can forgive the odd glitzy Total station or three.

Other than that, the landscape looks like Holland with an African twist. Flat as a pancake, less water and no tulips. Its a lot drier, with scatterings of mango trees and the odd Neolithic Baobab. The drier it gets the more important livestock becomes and the fly quota is increasing exponentially. No problem, I was an expert fly swatter in Ethiopia and I already feel the killer vibe coming back.

The houses have changed too. No longer individual and square, roofed mainly in zinc, households in this end of Burkina and N.Ghana are three or four single room-sized round huts with, if you really want to keep up with the joneses, the odd rectangular building thrown in too. All this is held together in by connecting walls making a cosy little compound. Almost all are roofed in thatch and the walls and buildings smoothly plastered with Adobe-type mud. Outside there are generally two or three granaries. Smaller round affairs held off the ground by bricks and stout sticks. The bottom of which are not square but also round. The closest thing which sprang to mind was inverted ice-cream cones. When the round little caps of thatch are not quite straight, which seems to be mostly the case, the impression they give is of tens of munchkin villages lost among the mango groves. In the evening light, speeding along, it was a beautiful countryside.

Niamey next and lets see if this time we can actually read the timetable....

Sunday, May 20, 2007

Ok, well...yesterday we were on our way further up the coast to laze on fine sand beaches, under gently swaying coconut palms, pinacolada in hand, but no.....So much for plans. But thinking about it, despite my 'Princess tendencies' as someone once accused me of, the idea seems a lot jucier than actually lazing itself. Spent 3 hrs on the beach a couple of days ago and was reduced to counting grains of sand ... was saved by the weather.

So, things change and in fact this rather abrupt change of mind came about thanks to the continued general unfriendliness. I mean, it gets wearing man! Anyway, we packed our bags and instead of heading further down the coast we are on our way to Niger, via Kumasi and Burkina.

This evening we are in Kumasi and its amazing the difference three hours of road can make. People come across as friendlier and more open and the whole place seems a lot more relaxed....and the area more under developed than the coastal areas. In fact it doesnt look substantially different to Liberia except less bushy (not tough), there are more people around and - the most significant difference - it has some mean tarmac-ed roads! WOW!!!

The little tro-tro mini bus positively flew along them. Ok, maybe thats an exaggeration but it moved at over 25kmxhr, didnt break down and didnt get stuck in any mudholes. Amazing. Incredible. How boring. At least a little breakdown....pleeeaase! But Im sure they are coming and in the meantime it was a pleasure to speed along, wind in the hair...but I took Jean Robert's advice and kept away from the windows... When people are car-sick here out the window they lean and if youre squidged in behind them there is no escape! Nasty!

Tomorrow we cross into la francophonie - HEEEELLLP! It means im going to have to speak more than two words of pigeon-french to swiss colleagues...although Ive been reassured that W.African French are not as exacting in pronunciation as the original version. Im telling you, it no' easy-o! What were the Anglophones thinking! They could have pushed that little bit further no? The Empire of Greater Liberia, anyone? But then I guess the bread wouldnt be as good!


Bon, voila qu'on a change d'avis, et oui... ca arrive. Bon, le plan etait de partir un peu plus loin sur la cote du Ghana afin d'en voir un peu plus, se poser un peu plus longtemps sur une plage de sable fin, et faire les faineants... Mais, comme tout le monde le sait, etre faineant n'est pas trop dans nos cordes, donc hier soir nous avons decide de changer legerement l'itineraire. En effet, le pays ne nous impressione pas vraiment, les gens ne sont pas aussi gentils qu'au Liberia, et Ghana lui ressemble sur enormement d'aspects.
Bon, et puis il faut dire qu'a force de lire le guide du Niger, on est un peu trop impatient de se retrouver dans ce taxi brousse, foncant sur les piste de sable, plein a craque, nous conduisant a la frontiere du Tchad, NGuigmi (bordant le lac Tchad).

Donc du coup, nous voila a Kumasi. C'est une assez importante ville du centre du Ghana, assez facile d'acces, nous avons pris un trotro ce matin sur le coup des midis et nous sommes arrives trois heures plus tard. Nous avons trouve notre endroit pour la nuit, une "guest House" et avons repere la gare routiere en direction de Ouagadougou. Et oui, du coup, marre du Ghana, nous partons directement sur le Burkina. Une longue route nous attend demain (Depart a 8 Heure) avant d'arrivee dans la capitale Burkinabe. Passage dans l'Afrique francophone...
Par la suite, nous allons partir sur le Niger, certainement un ou deux jours plus tard. Puis nous allons prendre notre temps pour organiser notre tour du Niger.

Saturday, May 19, 2007

Ghana


Arrived last week. What to say...Hmmm. The comparisons with Liberia are inevitable and Im not sure how well Ghana holds up at first impressions - and they are just first impressions and quick impressions at that.
Some quick snapshots: Pinapple on a stick - a great invention, lady carries around small little pinapples on head, peels them superfast and delivers it to you to eat like a lollypop, holding the spiney bit at the bottom (No suprise to voinjamers that food takes a priority here :)...) ; Loud noisy markets filled with pretty much anything you might need and a lot you never want to need; noisy, polluted Accra with its tall modern buildings, California style rich-cat houses, tarmac-ed roads choked with shiny SUVs, their tinted windows and personalised number plates; beautiful coastline, a la tourist brochure - coconut palms, pale pink sand, turquoise waters the whole cliche; graceful colonial buildings along the coast; striking white forts and castles complete with grim slaving dungeons. A bewildering contradiction but still physically beautiful in many ways. Unfortunately it seems we arrived in national bad mood week. Where the country gains it reputation for friendliness for is beyond me. Liberia come back quick quick. Of course we've met the odd helpful person and even...shock horror the odd smile! But am looking forwards to Niger, leaving for Niamey middle of next week.



Une semaine apres notre arrivee au Ghana, une journee et demi a Accra et quelques jours sur Cape Coast et alentours, voici un petit bilan rapide:
Accra fut difficile, pas vraiment grand chose a faire, pas plus a voir, grande ville africaine polluee par le bruit et les gaz d'echappement de tous ces gros 4x4 circulant en ville. De plus, le peu de gens avec qui on a eventuellement pu discuter ne furent pas des plus amicaux... Quelle difference avec le Liberia ou les gens sont toujours souriants et gentils.
Du coup, on a decider de fuire l'air de la grande ville et de partir dans un contact un peu plus petit: Cape Coast. C'est une ville cotiere a l'ouest de la capitale dans la lignee des villes colonialles avec chateau et forts dont les visites nous montrent le reste de l'horrible traite des esclaves d'il y a quelques siecles.
A part les routes goudronnees et les grandes maisons, conmstituant cette ville relativement etendue, l'ambiance africaine est toujours la. De petits details sympa comme l'annanas pile a manger comme une grosse sucette, les balades en trotro (qui sont des vans utilises comme transport en commun), des plages au sable fin sous les cocotiers ou l'on se la coule douce...
La prochaine etape est un petit hotel en bord de plage pour passer deux ou trois autres jours de detente, avant de partir en direction du nord, passant par le Burkina, arret a Ouagadougou puis direction sur le Niger. Puis enfin commencera vraiment le voyage a proprement parler, lorsqu'on arrivera a Niamey et preparera le trajet dans l'est de ce pays inconnu...